Antoine Klein, élève en 2e année à Télécom SudParis option Data Science
Aujourd’hui rencontre avec Antoine Klein, élève en 2e année à Télécom SudParis option Data Science sur le campus d’Evry. Après une prépa Mathématiques, Physique et Sciences de l’Ingénieur (MPSI), au lycée Kléber de Strasbourg, il décide en 2020 de passer le concours Mines-Télécom. Découverte de son parcours.
- Qu’est-ce qui t’a décidé à poursuivre tes études et à intégrer une Grande École d’Ingénieurs ?
J’ai toujours aimé les mathématiques, au collège je participais souvent aux concours qui étaient organisés. Puis quand je suis arrivé au lycée, une connaissance qui avait fait « maths sup » m’a conseillé de tenter les classes préparatoires pour voir quel était mon niveau. Là, je me suis mis à rêver d’aller plus loin, c’est-à-dire tenter les écoles d’ingénieurs, et de voir jusqu’où je pouvais aller.
- Quels ont été les moments forts que ton passage à Télécom SudParis ?
Tout d’abord, je me souviens de mon admission, car au départ je voulais intégrer les écoles du concours Mines-Ponts ou l’École polytechnique. Mais ayant raté de peu le concours d’entrée, j’ai décidé de m’orienter vers les écoles de l’Institut Mines-Télécom (IMT) sur les conseils de mon professeur de physique en classe préparatoire. Il m’avait dit qu’il y avait un certain nombre d’écoles qui avait rejoint l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), et que cela nous offrait une multitude de perspectives. […] Depuis, je me rends compte qu’il avait raison et je suis satisfait. Ensuite, les autres moments forts sont ceux offerts par l’école. La vie associative, les rencontres, la vie sur le campus, la qualité des cours, j’ai plein de bons souvenirs ici à Télécom SudParis. En fait, je suis venu pour des raisons académiques et je suis resté pour beaucoup plus que ça.
- Comment se passe la vie dans ton école au quotidien ?
En fait, je suis arrivé ici avec plein d’appréhension. Au début, je pensais que ça allait être compliqué et même insupportable car je suis arrivé en pleine crise du Covid. Mais finalement, c’était top ! J’ai créé l’association Epicer’INT, l’épicerie solidaire du campus. De plus, je me suis fait plein d’amis ici, et nous participons à divers évènements organisés par l’école et les associations. Je ne peux donc que m’épanouir ici à Télécom SudParis.
- Comment as-tu financé tes études ?
Personnellement, en raison de la situation de mes parents, je n’avais pas droit aux aides sociales. Mais je sais que Télécom SudParis aide les étudiants à financer leurs études. Je connais des étudiants dans ce cas. De plus, la Maisel (Maison des élèves) est une forme d’aide apportée par l’école, car le loyer n’est pas cher et vous êtes directement dans l’école.
- Quels sont tes projets après ton diplôme d’ingénieur ?
À court terme, je vais faire ma troisième année sur le campus de Palaiseau. Je vais profiter des opportunités offertes par l’Institut Polytechnique de Paris, pour me projeter plus loin. Je ne compte pas m’arrêter à mon diplôme d’ingénieur, ni au master, je veux faire une thèse. Si ça ne marche pas, j’irai sur le marché du travail mais pour l’heure j’ai envie de tenter le doctorat et la recherche.
- Quel(s) conseil(s) donnerais-tu à quelqu’un qui hésite à passer le concours ?
Je leur dirai de ne pas hésiter et de bien regarder Télécom SudParis, car son classement n’est pas à la hauteur de son rang. Les cours proposés et les perspectives d’avenir qu’elle offre sont tout aussi attractifs qu’une autre école mieux classée. De plus, être à IP Paris est une chose incroyable, car elle nous offre la possibilité de rejoindre un réseau d’élèves ingénieurs des 5 écoles de l’Institut. L’autre argument massif pour moi est le fait que nous sommes proches de l’École polytechnique pour la troisième année.
- Selon toi, quels sont les atouts du concours Mines-Télécom ?
Ceux qui sont attirés par les maths, les réseaux, les télécommunications etc… Ce concours vous est dédié. Car les écoles de l’Institut Mines-Télécom sont spécialisées dans divers domaines, et elles vous ouvrent des portes sur l’avenir. A mon avis, les étudiants qui passent le concours Mines-Ponts devraient également passer celui de Mines-Télécom car ils sont presque identiques.
- Ta devise ou ton « mantra » ?
Personnellement je n’en ai pas, mais au sein de l’association Epicer’INT notre devise est « c’est ensemble que nous allons plus loin ».
Autres Témoignages
En 2ème année à Télécom SudParis, Morgane prépare une année de césure en ingénierie biomédicale, pour ensuite effectuer une spécialisation en Intelligence Artificielle en 3ème année.
Morgane étudie l’IA à Télécom SudParis
2A à Télécom SudParis
lire la suiteAprès deux ans en classe préparatoire MPSI/MP au lycée Ibn Ghazi à Rabat (Maroc), j’ai réussi le concours Mines Télécom en 2022 et intégré EURECOM en première année du cycle ingénieur.
Moaad MAAROUFI, étudiant à EURECOM
1ère année de cycle ingénieur
lire la suiteJ’ai fait une prépa PSCI puis PSI. J’ai passé trois concours écrits (central, CCINP et Mines) et deux oraux (Mines télécom et CCINP). Les écrits des Mines ont été très difficiles pour moi mais je me suis bien rattrapée à l’oral.
Lou Marze, étudiante à EURECOM
1ère année de cycle ingénieur
lire la suite